Le feu qui brûle en moi

  

Si tu pouvais sentir la flamme que j’ai en moi,

Dés que je pose les yeux sur toi,

Tu saurais alors me découvrir.

Quand je ferme les yeux,

Et que je t’imagine,

Je sens monter en moi,

Toutes ta puissance sexuelle.

La chaleur de ta voix de tes mots,

Dans ma tête,

L’idée de tes mains sur mon corps,

Me transforme en quelques chose d’indescriptible.

Le courant qui me traverse,

Fait de moi celle que tu veux,

Je me donne à toi.

La peur d’être surprise,

Me fait fondre telle une glace,

Pour rêver à nouveau de tes mains sur mes hanches,

De ta bouche sur la mienne.

De ta langue chaude glissant le long de mes reins.

Qui sait  ce qu’est l’amour tant que ce fleuve de sensations n’à pas coulé,

Au plus profond de son être.

Le feu qui brûle une nuit d’hiver,

Ne vaut même pas ce que tu es pour moi.

Mais toi je te ressens encore,

Mon corps en transe,

Chaudes et envieuse de tes actes.

Ah ! Si je pouvais te sentir en mon corps,

Amour invisible, impalpable,

Je crois qu’à moi toutes seules,

Je serais le feu d’artifice le plus magique qui soit.

Tu es le feu qui brûle en moi et qui jamais ne s’éteindra,

Que lorsque je disparaîtrais.